Nouvel An 2024 : Des fidèles chrétiens célèbrent leur Saint Sylvestre avec Dieu

Des fidèles chrétiens ont fêté le réveillon du 31 décembre à l’église. Chants, danses, témoignages, prière et action de grâce ont été les moments forts de cette célébration au Centre international d’évangélisation église locale de Pissy.

La célébration du nouvel an à l’église du Centre international d’évangélisation de Pissy s’est déroulée dans une ambiance nourrie de chants et d’action de grâce au Seigneur.

Fêter la Saint Sylvestre à l’église est un moment très important dans vie du fidèle chrétien. Selon Edwige Koaré, le 31 décembre est un moment solennel qu’il faut passer dans la présence de Dieu. « Ce moment est si précieux qu’il faut le recommander à Dieu pour qu’il prenne encore soins de nous », dit-elle.

Entre chants, danses, et témoignages chaque fidèle a su rendre mémorable cet instant. C’est le cas de Karen Ouédraogo qui passe depuis toute petite, les réveillons à l’église. « Depuis l’enfance mes parents m’ont toujours dit qu’il était important de recommander la nouvelle année à Dieu et cela je l’ai toujours appliqué jusqu’à maintenant », confie-telle.

Les enfants n’ont pas été en marge de cette célébration. Tous joyeux, ils ont partagé des chants et des mimes avec les fidèles de l’assemblée. « Je suis venue avec mes parents pour rendre grâce à Dieu pour ses merveilles dans ma vie », fait savoir Eliel Zongo, élève en classe de CM2.

Adeline Bazié, assistante comptable estime qu’une heure dans la présence de Dieu valle mieux que 1000 ailleurs. « Célébrer mon nouvel an à l’église à une grande importance pour moi. C’est le moment où tu fais le bilan de ta vie et prends des décisions fermes et les respecter. Mais pour cela, il est important de se laisser guider et conduit par lui, le père de toute chose », dit-elle.

Chaque fidèle a pris le temps de rendre grâce à Dieu individuellement ou collectivement pour ses innombrables bienfaits et ils ont par la même occasion priée pour la nation afin que la paix revienne au Burkina Faso.

Mireille Sandrine Bado/MoussoNews