[Tribune de Dr Niaoné Moumine ] * avortement clandestin, scrutons nos laideurs, à nos consciences.
Au Burkina Faso, l’avortement n’est autorisé que pour sauver la vie et protéger la santé de la femme enceinte, et dans les cas de viol, d’inceste ou de graves malformations fœtales. Par conséquent, la grande majorité des femmes qui mettent…