Conseil des ministres : Plusieurs nomination de femmes

Le Conseil des ministres du mercredi 20 novembre 2024 a vu plusieurs femmes nommées à des postes stratégiques au sein de l’administration publique. Un signe de reconnaissance pour leur engagement et leur dévouement au service de l’État burkinabè.

Le Conseil des ministres du mercredi dernier a marqué une étape importante pour la valorisation des compétences féminines au Burkina Faso. Des femmes, issues de divers ministères ont été promues à des postes clés, confirmant leur rôle crucial dans le développement et la gestion des affaires publiques.

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Le Conseil des ministres du mercredi 20 novembre 2024

Au titre du Ministère de l’Économie et des Finances, 08 femmes ont été distinguées. Parmi elles, Terdomè Reine Valérie Diessongo/Somda devient Comptable principal des matières de la Primature. Flora Judith Kaboré/Ouattara prend la même fonction à l’Agence burkinabè d’investissement (ABI). Ces nominations témoignent de leur expertise en gestion financière et administrative.

Le Ministère des Affaires étrangères n’a pas été en reste. Son-Mané Wuro Estelle Rolande Konene/Sanou est désormais Directrice des conférences et des voyages officiels. Elle sera épaulée par Wendegoudi Jacqueline Ouédraogo, nommée Directrice de la promotion économique et des investissements de la diaspora. Ces désignations reflètent une volonté d’associer les femmes à la promotion de l’image et des intérêts du pays sur la scène internationale.

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L’éducation, secteur clé pour le développement, a vu également des femmes promues. Sibirihan Elise Sama prend les rênes de la Direction de l’enseignement de base privé, tandis que ses consœurs, comme Oumou Sahadiatou Zagré/Konate, Kathia Aïda Rouamba/ Koutiébou et Claire Bazongo/Kinda rejoignent l’équipe des inspecteurs techniques des services.

Ces nominations traduisent non seulement la reconnaissance des efforts de ces femmes, mais aussi une avancée significative dans l’équité genre au sein des institutions publiques. Ce pas encourageant pourrait inspirer davantage de femmes à contribuer activement au développement du Burkina Faso.

Diane SAWADOGO (Stagiaire)/ MoussoNews

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