Débat oral avec le Président Ibrahim Traoré : 7 femmes parmi 34 intervenants

Sept(7) femmes ont posé des questions d’intérêts généraux au Président du Faso, le Capitaine Ibrahim Traoré. Retour des déplacées internes, cancer de sein, sécurité, les femmes ont posé leur préoccupation lors de l’antenne direct avec le chef du Gouvernement burkinabè, ce samedi 5 octobre 2024.

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Image d’illustration.

34 personnes dont 7 femmes et 27 hommes ont posées leur inquiétudes au Capitaine Ibrahim Traoré au débat interactif avec la Nation.

Madame Kone résidente à Bobo Dioulasso a souhaité connaitre le sort réservé au comploteur de la déstabilisation du pouvoir. ’’Chacun assume ! Si quelqu’un entreprend des démarches contre le pouvoir, il va assumer seul les conséquences de ses actes. Nous ne conseillons plus…’’ a répondu le Capitaine Ibrahim Traoré.

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Maimouna Ouédraogo de Bittou de la région du Centre-Est, s’est penchée sur la situation des Personnes Déplacées Internes. Elle a demandé à être clarifié sur les stratégies adoptées pour assurer le retour des PDI dans leur localité d’origine.

La situation sécuritaire reste difficile dans certaines régions du pays malgré les progrès. C’était l’inquiétude de Mariam Traore résidente à Orodara qui a demandé au président les principaux obstacles que rencontre les forces de l’ordre pour la sécurisation du pays.

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Toutes les mines sont inscrites dans l’agenda du gouvernement“, telle est la réponse du capitaine Ibrahim Traoré à Kady Yaro de Poura qui avait une inquiétude sur le cas de la mine de sa localité.

Sarata Dakouré quant à elle a souhaité que le gouvernement soit très regardant envers l’initiative de prise en charge des traitements de cancer.

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Photo utilisée à titre illustratif.

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Awa Coulibaly de Békuy, Boucle de Mouhoun quant à elle a sollicité des détails sur l’avancement des projets Faso rails.

Le conseil des ministres du mercredi 21 août 2024 a proposé un projet de loi sur la modification de la devise du Faso. D’Unité-Progrès-Justice’’, elle va bientôt être ‘’La Patrie ou la Mort, nous vaincrons’’. Angeline Yaro de Léo a demandé ce qui empêche le déroulement du changement.

Annick HIEN/MoussoNews

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