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Un mardi matin de tristesse à Ouahigouya avec la marche des femmes déplacés internes. » Nous avons faim« , » Nous avons soif » tels étaient le cri de détresse qu’elles chantonnaient. Le Burkina fait face au terrorisme depuis 2016. A la date du 31 janvier, le pays comptais plus de 200 000 nouveaux déplacés internes.