Vie de couple : ”Assister à l’accouchement de sa femme est une grâce”, Ezéchiel Benao

Assister sa femme en salle d’accouchement est perçu comme un signe de faiblesse pour certains hommes. D’autres par contre trouve cet acte louable et le recommande. MoussoNews a donc recueilli l’avis de quelques Ouagalais.

Vie de couple : ''Assister à l'accouchement de sa femme est une grâce'', Ezéchiel Benao 2

  • Abdoul-Razack Cissé, commerçant

«Depuis la nuit des temps, ce sont les femmes qui assistent les femmes pour leurs accouchements et tout à toujours bien fonctionné. Pourquoi vouloir déroger à cette  tradition? Ce n’est pas possible pour moi de le faire».

  • Ezéchiel Benao, ingénieur

«Assister sa femme en salle d’accouchement est une grâce divine. À mon avis si on a pu l’assister depuis le premier jour de la grossesse, quand on a l’occasion d’être à ses côtés dans la salle, il ne faut pas hésiter. Cet acte te montre combien la femme est forte et mérite d’être aimé davantage».

  • Oumar Coulibaly, entrepreneur

« La naissance d’un enfant est un évènement éprouvant sur tout les plans. J’ai eu la chance d’assister ma femme à tous ces accouchement et j’avoue que ma présence lui a été d’un grand soutien. Nous avons vécu des moments intenses et cela a encore renforcé notre amour et a impacté notre relation».

  • Innocent Balma, garagiste

« Cette histoire assister sa femme lors de la naissance est une affaire de blanc. Quand une femme pour accrocher, le mari était loin de la case ou se déroule l’accouchement. Une fois l’enfant né, ce sont les vieux qui le prenne d’abord avant et qui informé le papa. De nos jours nous avons perdu toutes nos valeurs et cela est bien dommage».

  •  Fidèle Koné, agent de santé

« Soutenir sa femme lors de l’accouchement, c’est être là pour accueillir et souhaitez la bienvenue à l’enfant.  C’est un moment de pur bonheur, d’émotion intense. On est témoin oculaire d’un miracle qui ne se raconte pas mais qui se vit. Cela permet aux parents de créer un lien avec l’enfant dès son premier souffle et c’est simple magique».

Mireille Sandrine Bado/MoussoNews

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